LETTRE D’ACCUSATION DE LA PRESIDENTE DU TGI DE REIMS

Lettre d’accusation de la présidente du TGI

dans cette lettre, adressée par la présidente du TGI au procureur de la République, le magistrat m’accuse de diverses choses;

1) d’avoir demandé de façon virulente la communication de certaines pièces à la partie adverse, (alors qu’il est du devoir du juge de veiller à ce que les parties communiquent toutes les pièces) et avoir tenu des propos difficiles à relater (l’avocat commet une tentative d’escroquerie au jugement, je vais le poursuivre devant le tribunal correctionnel) il enjoignait à ma greffière d’acter ses propos (lorsqu’une partie au procès demande qu’il soit acté les propos d’un contradicteur, ils ont le devoir de le faire)

2) d’être entré sans me soumettre au contrôle (faux, je n’ai jamais refusé de passer au contrôle) puis de passer par l’accueil (cette pratique est illégale, inventée pour empêcher d’avoir accès aux droits et je refuse de m y soumettre) le directeur du greffe avait déjà du intervenir pour qu’il se soumette au moins au contrôle, (faux, ce monsieur, Michel GENTILLINI, a déjà été pris en flagrant mensonge et dénoncé à l’ancien premier président de la cour d’appel par moi, raison pour laquelle du haut de son tabouret il continue à me diffamer)

3) d’avoir dit à l’avocat BLAREAU “t’inquiète pas mont pote, je te retrouverai”, (je ne l’ai jamais tutoyé, ni même menacé, si non de le poursuivre en justice pour escroquerie, ce qui n’est pas une “menace”, et c’est un escroc, coupable d’escroquerie au jugement, fait qu’il a reconnu)

4) que l’avocat BLAREAU aurait été choqué par mes propos et est resté dans la salle pour retrouver ses esprits (faux, l’avocat dit qu’il est resté en attendant d’autres affaires. il sera entendu par la police deux fois ou il ne confirme pas les accusation et dit ne pas vouloir déposer plainte. à la troisième audition il finit par dire ce que l’on voulait entendre, que je lui ai dit   “t’inquiète pas mont pote, je te retrouverai”, il refuse pourtant pour la troisième fois de déposer plainte. c’est l’ordre des avocat qui, poussé par le procureur, finit par déposer plainte)

5) de m’être retrouvé errant “notamment dans mon couloir alors qu’il s’était présenté pour aller à la première chambre civile” (alors qu’on est obligé de passer devant son bureau pour aller au greffe civil et au bureau d’aide juridictionnelle), ou il a déposé trois requêtes en quelques jours( alors qu’elle a rendu deux ordonnances sur requête de l’avocat BLAREAU ordonnant mon expulsion sans m’entendre, donc illégales)

6 que je refuse de déposer les demande d’AJ à l’accueil (alors qu’il y a un bureau exprès pour ça) 13 demandes d’AJ en 2016 (les magistrats, dont elle, continuent de faire des procédure et rendre des décisions illégales [bien plus que 13 en 2016], mais ce qui l’intérêsse c’est de connaître le nombre de demandes d’AJ déposées)

et là, à la fin, elle demande textuellement de m’interdire l’accès aux services, demande exécutée puisque je n’ai plus le droit d’accès aux salles d’audiences.